Je devais entamer la critique d’un très bon album ( voir plus bas ) mais c’est finalement celle d’un très mauvais album que je vais entreprendre, ce en posant une question bien triste : mais où est donc passé, non pas Ornicar mais José Luis Munuera.. ?
Quel vilain farfadet l’a empêché de poursuivre son aventure Spiresque.. ?
Car oui je veux parler du dernier Spirou dont la teinte vert de gris est à l’image de mon humeur une fois en avoir terminé la lecture, cet opus n’étant autre qu’un fatras de tous les clins d’oeil possibles, amoncelés les uns sur les autres pour former un résultat indigeste de par une quantité d’idées prévalant à la qualité de celles-ci, mon cerveau ayant d’ailleurs failli subir une surcharge pondérale subite suite à cette plongée dans une Belgique hergéisée à outrance...
Hormis ce paysage patchwork de